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Se marier avec une femme ukrainienne : combien cela va-t-il réellement vous coûter ?
Argent, réalités économiques et idées reçues vues du côté des hommes occidentaux
C’est une question que beaucoup d’hommes n’osent pas toujours poser ouvertement, mais qu’ils se posent très sérieusement en privé :
« Me marier avec une femme ukrainienne, est-ce que cela va me ruiner ? »
Cette inquiétude est légitime.
Elle ne traduit ni de l’égoïsme ni de la mesquinerie, mais simplement une volonté de lucidité et de responsabilité.
Dans une société occidentale où :
- le coût de la vie explose,
- l’avenir économique est incertain,
- et où beaucoup d’hommes ont déjà vécu un divorce coûteux,
il est parfaitement normal de vouloir savoir où l’on met les pieds avant de s’engager.
Chez CQMI – Agence matrimoniale internationale, nous accompagnons depuis de nombreuses années des hommes sérieux, stables, souvent déjà pères, qui souhaitent construire une relation durable avec une femme ukrainienne… sans mettre en danger leur équilibre financier.
Alors parlons-en franchement.
1. Pourquoi cette peur du « portefeuille » revient si souvent ?
Parce qu’elle est alimentée par plusieurs sources :
- des témoignages exagérés sur Internet,
- des récits de relations mal équilibrées,
- des différences culturelles mal comprises,
- et parfois… des erreurs de communication au départ.
Beaucoup d’hommes occidentaux ont entendu dire que :
- les femmes ukrainiennes attendraient un homme « riche »,
- qu’elles coûteraient cher,
- ou qu’elles verraient le mariage comme une sécurité financière avant tout.
? La réalité est beaucoup plus nuancée.
Pour comprendre, il faut d’abord parler du choc économique entre l’Ukraine et l’Occident.
2. Les femmes ukrainiennes ne mesurent pas toujours le coût réel de la vie en Occident
Oui, les salaires occidentaux sont plus élevés qu’en Ukraine.
Mais les dépenses le sont encore plus.
Beaucoup de femmes ukrainiennes raisonnent (logiquement) ainsi :
« S’il gagne trois ou quatre fois plus que chez nous, il doit être à l’aise. »
Ce qu’elles ne voient pas toujours, surtout avant de vivre en Europe ou au Canada, ce sont :
- les impôts,
- les loyers,
- les assurances,
- le coût des enfants,
- et la pression financière quotidienne.
Un client du CQMI racontait :
« Ma compagne pensait qu’avec 4 000 € par mois, on était riche. Quand elle a vu les charges, elle a compris que je ne plaisantais pas. »
Ce n’est pas de la mauvaise foi.
C’est un manque de visibilité sur la réalité occidentale.
3. Inflation, logement, impôts : la réalité occidentale que peu de femmes imaginent
En France, au Canada ou en Belgique, le budget d’un homme seul peut déjà être tendu.
En couple, avec projet d’enfant, il devient un véritable exercice d’équilibriste.
Quelques réalités concrètes :
- Le logement représente souvent 30 à 40 % des revenus
- L’alimentation coûte de plus en plus cher
- Les frais liés à la voiture, à la santé, aux assurances s’accumulent
- L’épargne devient difficile
? Ce n’est pas que l’homme ne veut pas donner.
? C’est qu’il doit anticiper.
Sur ce sujet, vous pouvez lire aussi sur le blog CQMI :
? « Pourquoi les hommes occidentaux planifient plus que les femmes de l’Est »
4. Le vrai poste de dépense : les enfants (et l’école)
S’il y a un point qui inquiète beaucoup les hommes, c’est celui-ci.
En Occident, élever un enfant coûte très cher :
- école (surtout privée),
- cantine,
- activités,
- vêtements,
- logement plus grand,
- études supérieures.
Beaucoup de femmes ukrainiennes sont surprises par :
- le prix des écoles privées,
- le coût des activités extrascolaires,
- et le fait que tout soit payant.
Un homme prévoyant n’est pas radin.
Il est responsable.
? Sur ce thème, voir aussi :
« Mariage international et enfants : ce qu’il faut anticiper »
5. Les hommes français sont-ils vraiment “radins” ?
En Ukraine, la réputation des hommes français est claire :
« Romantiques, mais très économes. »
Je connais bien ce cliché.
Ma femme Boryslava, ukrainienne, m’a avoué un jour :
« Je ne voulais surtout pas épouser un Français. On dit qu’ils comptent tout. »
Ironie de la vie : son mari est français.
Avec le temps, elle a compris une chose essentielle :
? le Français n’est pas radin, il est rationnel.
Il pense long terme, stabilité, sécurité familiale.
Aujourd’hui, elle explique elle-même aux autres femmes ukrainiennes que :
« Compter, ce n’est pas refuser. C’est protéger. »
6. Et si vous avez déjà des enfants ? Le sujet clé à ne pas éviter
C’est probablement le point le plus sensible pour un homme.
Si vous avez déjà des enfants :
- vous avez des obligations financières,
- parfois une pension,
- et une priorité naturelle envers vos enfants biologiques.
Certains hommes souhaitent :
- continuer à aider leurs enfants,
- mais ne pas assumer financièrement les enfants d’une nouvelle épouse.
? Ce n’est ni immoral ni choquant, à condition que ce soit clairement dit avant le mariage.
Trop de conflits naissent de non-dits sur ce sujet.
Chez CQMI, nous insistons toujours sur un point :
Les questions d’argent et d’enfants doivent être réglées avant, jamais après.
7. Combien cela va-t-il réellement vous coûter ?
La vraie réponse est simple, mais honnête :
? Cela dépend du type de relation que vous construisez.
- Une femme ukrainienne sérieuse ne cherche pas un distributeur automatique.
- Elle cherche un homme stable, fiable, protecteur.
- Mais elle doit comprendre vos contraintes réelles.
Un mariage équilibré coûte :
- de la communication,
- de la transparence,
- des compromis des deux côtés.
Là où certains hommes se ruinent, ce n’est pas à cause des femmes ukrainiennes…
? c’est parce qu’ils ont voulu acheter l’amour au lieu de le construire.
Conclusion : protéger son portefeuille, c’est aussi protéger son couple
Avoir peur pour son portefeuille n’est pas une honte.
C’est même souvent le signe d’un homme :
- responsable,
- prévoyant,
- prêt à s’engager sérieusement.
Le mariage avec une femme ukrainienne n’est pas un gouffre financier, à condition de :
- choisir une femme alignée avec vos valeurs,
- parler d’argent sans tabou,
- et construire un projet commun réaliste.
C’est exactement le rôle du CQMI :
vous aider à rencontrer la bonne personne, pas à financer une illusion.
Antoine Monnier
A étudié à CQPNL Centre québécois de PNL
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