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Les femmes russes Les femmes russes CQMI

Pourquoi les femmes Russes sont-elles toujours bien habillées

15 août 2018

A travers l’expérience d’Antoine Monnier directeur de l’Agence CQMI, marié avec une Ukrainienne, et celle d’Hervé Jouhet marié quant à lui à une Russe, nous allons tenter au moyen d’une chronique particulière sous la plume du second de vous présenter quelques standards et quelques conseils à l’usage d’hommes francophones qui rêveraient, espéreraient et décideraient de créer une relation maritale avec une femme russe ou ukrainienne. L’un comme l’autre ont écumé le monde slave, tant l’Ukraine, que la Russie, mais aussi d’autres pays périphériques. L’un comme l’autre sont passés par une étape de recherche amoureuse similaire, faite de rêves qui se sont réalisés… mais pas tout seuls ! L’un et l’autre sont parfaitement russophones, ont étudié en Russie la langue de Pouchkine, le premier a longuement résidé dans le pays et dans la ville mythique de Saint-Pétersbourg, en passant par la Sibérie, le second est moscovite, cœur palpitant de la Russie, après avoir connu l’Oural et le Sud du pays.

C’est un stéréotype très répandu sur la femme russe et ukrainienne, que ces femmes s’habillent toujours comme s’il y avait des noces, comme si c’était tous les jours dimanche. En Occident, l’élégance des femmes russes intrigue et choque, à la fois par les vêtements, les décolletés, le maquillage, le comportement, car il n’y a plus et de longtemps en France comme en Belgique et dans beaucoup de pays francophones, une culture de l’élégance, de la coquetterie. Depuis le début des années 70, une lente dégradation de la famille a d’abord repositionné la femme à l’égal de l’homme.  En disant cela, il n’y a pas d’ironie, mais seulement le constat qu’il a peut-être été oublié que l’homme et la femme sont complémentaires, plus qu’égaux. Certes, de nombreuses avancées ont été une vraie chance, un vrai progrès, en politique par exemple avec l’accession au droit de vote qui jusqu’à présent avait été refusé aux femmes. Mais depuis cette évolution, la femme est devenue finalement un enjeu majeur, d’abord dans la publicité, puis comme consommatrice à part entière, au sens que la femme isolée ou à la « tête » d’une cellule familiale, souvent monoparentale est désormais aux commandes de ses finances. Avec le prêt-à-porter, l’influence des modes est devenue nulle, seulement imprimée par quelques grands producteurs de vêtements et d’accessoires, l’idée générale étant d’abord de vendre, ensuite de proposer un confort. C’est à partir de ces maîtres mots que consommation et confort, cachant souvent par ailleurs sexisme et communautarisme, que la place de la femme s’est positionnée sur cette route, une impasse menant à un précipice.

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Une femme bien habillée est soit une prostituée, soit une bourgeoise. 

Au fil du temps les femmes ont donc cessé de coudre, de tricoter et finalement de penser à leur propre apparence. Avec la généralisation du pantalon, des jeans, robes et jupes sont devenues rareté puis dans beaucoup de cas un sujet de dérision. Dans beaucoup de milieux cette tendance s’est accentuée, également par la tyrannie et mode des cheveux courts. Les « garçonnes » se sont multipliées, tandis que la population s’habille massivement pour son quotidien dans quelques enseignes, les grandes surfaces et même dans des magasins comme Decathlon. C’est pratique, peu cher, passe-partout, multi-fonctions et cette tendance s’est généralisée aussi aux chaussures. A part les exceptions de certains métiers comme l’accueil, la restauration, d’autres métiers de contacts, les chaussures et les vêtements se sont donc uniformisés, standardisés. Il est devenu très rare d’entendre parler de couturier ou de tailleur, ce qui était la norme du commun des mortels au moins jusque dans les années 60. Le vêtement est aussi un enjeu commercial d’importance nous l’avons suggéré. Désormais fabriqué en Afrique du Nord, en Inde, en Asie, ce prêt-à-porter est international et contrôlé par quelques-uns, des gens qui brassent des millions. Ongles courts ou rongés, cheveux courts ou en bataille, vêtements informes et uniformes, presque asexués, il est ironique de constater que dans le même temps les publicités de shampoings et de beaucoup d’autres produits avaient pour symbole des femmes plantureuses, aux cheveux longs et aux talons hauts ! Dans le subconscient d’énormément d’Occidentaux, être bien habillé c’est désormais 1) l’adage des plus riches, 2) des bourgeois « au cul pincé », 3) des femmes de mauvaises vies, 4) du mauvais goût. Ainsi être bien habillé alors qu’il n’y a pas de fêtes, de soirées de Noël ou du Nouvel An, un mariage, c’est déjà devenu très suspect et l’immense majorité des hommes par ailleurs se sentiront mal en costume ou simplement habillés classe. Combien de repas de familles, de cérémonies ne se terminent-elles pas maintenant avec des gens qui se seront changés pour remettre leurs oripeaux du quotidien avec des ouf de soulagements ? Tout le monde a des exemples dans sa vie de situations de ce genre, à propos de « fringues de bourges », sans parler de l’apparition de femmes apprêtées, maquillées et bien habillées. C’est alors le choc de voir ces « mannequins » sortir des magazines, des écrans de télévision. Pour les hommes, dans l’immense majorité des cas, tout se remet en place instinctivement, les yeux admirent, les sens se réveillent. Mais derrière, l’ambiance générale oblige ces derniers à se souvenir que désormais c’est mal, c’est suspect, c’est dégoûtant… ou même que ces femmes sont obligatoirement sorties d’un établissement fréquenté seulement par celles qui ont la plus petite des vertus. Dans les autres cas, un vieux réflexe de relent révolutionnaire, typiquement franco-français fait parfois son apparition dans l’idée qu’il s’agit de « bourgeoises ». Environ deux-cents ans plus tôt, les Français surnommaient la reine Marie-Antoinette, femme coquette s’il en ait, avec il est vrai une petite cervelle et peu de flair politique, du doux nom de « la putain autrichienne ». Le mot est lancé… des putains.

L’élégance naturelle et entière des femmes russes.

Si vous cherchiez donc une explication au pourquoi du comment de la coquetterie des femmes slaves, de leur habitude de s’habiller avec recherche, de se maquiller, s’apprêter et de se maquiller, alors vous seriez dans l’erreur. Les femmes russes ne cherchent rien, elles sont simplement des femmes, et parfois jusqu’au bout des ongles. Certes parfois les talons sont un peu trop hauts ! Il y a parfois un peu trop de maquillage, mais il y a ici tous les genres, toutes les femmes. La femme russe a dans l’idée par ailleurs que les plus belles femmes du monde sont en Italie ou en France. Les mieux habillées, les plus élégantes, ayant accès sans fin aux parfums les plus délicats, aux meilleurs couturiers, aux plus créatifs des joailliers… le choc est rude pour ces dames lorsqu’elles débarquent en Occident, mais laissons parler Hervé et livrer comme à notre habitude son témoignage :

« Je vis en Russie depuis 10 ans, j’ai vécu longtemps en France, je vois donc la différence notable qu’il y a entre femmes slaves et françaises, occidentales. Ici il n’y a pas de dictature du sexisme qui voudrait que les femmes doivent avoir ce que les hommes ont, très exactement, comme des enfants gâtés qui feraient des caprices sans fin pour avoir le jouet du petit frère, du voisin. Les plaisanteries comme la parité font rire ici, avec des sorties humoristiques si nous comptons organiser la parité dans les salons de coiffure, ou les magasins de lingerie féminine, car la guerre des sexes n’a jusqu’à présent que très peu touché, du moins pour l’instant le monde slave. Pas question ici de penser qu’une femme doit avoir la place de l’homme et vice-et-versa. C’est un non sens choquant, car de fait les femmes sont à la place qu’elles choisissent dans ce monde depuis vraiment longtemps. C’est en Russie que vit la première femme cosmonaute, c’est ici qu’il y eut les premières femmes tireuses d’élite, les premières tankistes, quelques-unes des plus célèbres aviatrices (avec des françaises il est vrai), quelques-unes des plus audacieuses comme cette grand-mère parachutiste de 96 ans, vétéran de la Seconde Guerre mondiale qui aligne les records de performances sportives. C’est justement aussi ici que quelques-unes des plus grandes pionnières du sport sont nées, chercheuses, scientifiques, aventurières, femmes politiques, femmes du monde et célébrités. Lorsque je travaillais dans l’éducation nationale en France, je me souviens d’une collègue russe. Elle s’appelait Natalia, venait de Saint-Pétersbourg, était mariée à un Français, avait un niveau d’études supérieures, vétérinaire et chercheuse de formation, elle occupait modestement un poste d’assistante d’éducation, autrement dit de surveillante dans un lycée. La France ne lui reconnaissait aucun diplôme, elle n’avait trouvé que cela. S’étant présentée au lycée bien habillée, comme à son habitude, elle fut convoquée par le proviseur de l’établissement, sermonnée et finalement insultée comme jamais, elle fut sommée de venir habillée normalement car selon les dires de la direction, sa tenue affriolante excitait les nombreux adolescents et donnait le mauvais exemple. Elle fut blâmée, montrée du doigt et dut se plier aux codes vestimentaires passe-partout français, elle venait d’expérimenter dans la douleur la vision de la femme en France. C’est une histoire véridique et triste, je me souviens des larmes de Natalia, je me souviens aussi avoir eu honte pour notre pays. Elle ne portait pas de robe de soirée, ni de talons hauts, elle n’était pas maquillée de manière outrancière, elle était juste élégante. Elle ne cherchait ni sexe, ni à choquer son entourage, ni à provoquer les hommes, elle n’était qu’une femme, à l’image de ce qu’elle imaginait être, une simple femme ».

D’un monde à l’autre, du médiocre à la beauté.

Vous noterez également que l’anomalie démographique slave, à savoir l’énorme quantité de femmes par rapport aux hommes (de l’ordre de 115 à 130 femmes pour 100 hommes selon les régions de Russie et d’Ukraine), fait aussi que les femmes slaves qui ne feraient aucun effort, ne s’apprêteraient pas, resteraient d’éternelles célibataires. Avec une telle concurrence, il est clair qu’une femme portant des chaussures informes, des vêtements quelconques et communs, ongles courts, sans recherche ou petit quelque chose dans le maquillage ou la coiffure avec seulement un bête chouchou dans les cheveux, ne serait ici « qu’une souillon ». Vous n’avez jamais cherché sur internet à savoir ce que les femmes occidentales pensent des femmes slaves ? Avez-vous surpris des conversations ? Il est très rare de découvrir de tels témoignages qui en disent très long, mais il nous faut redonner la parole à Hervé pour justement se faire son avis :

« Dans mon travail c’est un sujet que j’ai tenté d’aborder. Pas facile, il y a un tabou, peu d’informations, peu de femmes qui veulent s’exprimer, mais c’est le temps qui passe qui m’a fournit quelque fois des réponses. Dans un forum, un commentaire Facebook, une remarque ici, une conversation surprise ici dans un couloir, des réflexions de touristes de passage, les femmes francophones, françaises qui ont un avis sur la chose, notamment les rares qui ont vécu quelques années en Russie et en Ukraine (nous sommes massivement des hommes pour des raisons évidentes !) sont il faut le dire, en cassant d’ailleurs un tabou, choquées, jalouses, parfois jusqu’à la haine et c’est peu de le dire. J’ai lu par exemple le témoignage d’une étudiante française qui racontait sa « rencontre » avec les femmes russes sur place, il y avait dans ses mots de la fascination mais aussi une haine farouche exprimée par du cynisme et des plaisanteries méchantes. Beaucoup de femmes, des touristes que je reçois ici finissent par dire un « mais il paraît qu’elles vieillissent mal », une façon de se rassurer et surtout de se repositionner devant en affirmant par omission que la femme francophone, française, belge, québécoise tient mieux la distance… Je ne réponds jamais, car que répondre, les gens de passage viennent avec des stéréotypes, il serait incongru de leur apporter une autre vision qu’ils combattraient avec force par ailleurs, j’ai déjà vu souvent ce que j’appelle le syndrome du coupable, à savoir une personne prise en flagrant délit d’incursion dans la réalité du monde slave, mais qui est prise par la propagande officielle, ce qu’elle voit, elle le combat en se rendant coupable au fond d’elle, d’avoir pensé rien qu’un moment qu’il y a une autre vérité, un monde plus juste, plus authentique… meilleur ! Est-ce possible ? Le réflexe de l’immense majorité est alors de dénigrer, de souiller, de tourner en dérision, une façon comme une autre de continuer à se  sentir supérieur même en haillons et seulement riches de catastrophes, de crises et de retours en arrière ».

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Du succès de l’élégance des femmes russes et ukrainiennes.

Définies comme des créatures détestables en Occident, montrées du doigt parce qu’elles sont restées des femmes et des mères, au fond la jalousie transperce très fort des conclusions occidentales et de plus en plus d’hommes, de France, de Belgique, de Suisse, de France, d’Afrique du Nord, crient à voix basse, que ce sont ces femmes-là dont ils rêvent, qu’ils voudraient aimer, qu’ils souhaiteraient avoir pour mère de leurs enfants. Car ce qui crève aussi les yeux de ceux qui les voient comme mère, c’est qu’elles sont attentionnées, extrêmement attentives à entourer leurs enfants de toutes les attentions possibles et inimaginables, une mère russe ou ukrainienne ce n’est pas seulement la belle femme bien habillée, c’est aussi une mère courage, vaillante, aimante, jamais fatiguée, parfois jusqu’à l’excès. Protectrices, elles pourraient en rabattre à l’immense majorité des femmes occidentales, car elles sont majoritairement beaucoup plus diplômées du supérieur que leurs homologues francophones, polyglottes, responsables, parfois ayant accompli déjà une carrière avant même que leurs cousines françaises n’aient commencé le quart d’une d’entre elle… et là où le bat blesse, ce sont aussi des femmes d’une grande chaleur, douce, très tendre et vous n’entendrez jamais, absolument jamais parler de migraines ou d’autres artifices et maladresses froides et glaciales qui laissent la gente masculine dans un désert affectif dont elles sont finalement les premières à se plaindre, là-bas en Occident, en rêvant d’un illusoire prince charmant qui ne serait plus un homme, mais plutôt une sorte d’hybride/chose/machin/parent numéro 2, à qui l’on ferait la leçon de choses à l’envie et en permanence. L’élégance des femmes russes apparaît alors dans le regard des hommes occidentaux comme un rayon de soleil, la lumière dans la nuit, et j’entends déjà les pensées noires et malfaisantes des femmes d’occident qui me liront, la colère montant devant une vérité qui est clairement refusée à l’Ouest. Et oui… il fallait le dire, les femmes occidentales n’auraient-elles pas oublié d’être des femmes, et ces femmes russes et ukrainiennes ne seraient-elles pas justement ce que toutes les femmes du monde devraient être ? La question essentielle n’est pas ici de dire que la place d’une femme serait celle définie plusieurs siècles en arrière. Égale de l’homme ? N’est-ce pas cette question fausse et profondément négative qui finalement biaise le débat ? A-t-elle jamais été inférieure à l’homme ? Qui a dit cela ? Est-ce le ressenti des femmes ? Est-ce le seul bilan retenu dans l’histoire de l’Humanité ?

De nombreuses femmes ont brillé dans l’histoire et dans celle avec un grand H, en France comme en Russie, les souvenirs des grandes souveraines sont éclatants et parlent d’eux-même. Soumises à l’homme ? N’est-ce pas toute l’histoire également des êtres humains, entre dominations et soumissions et ne connaissons-nous pas autant d’exemples brillants ou décevants d’hommes et de femmes, du meilleur, de la meilleure, au pire, jusqu’à l’abject au masculin comme au féminin ? C’est sans doute en s’imaginant que l’homme n’était que le responsable d’inégalités dans le genre humain, que la femme, elle serait donc exempte de ces dernières ? Il n’y aurait pas de guerre vraiment sans les hommes ? Mais qui fut derrière alors le massacre de la Saint-Barthélémy ? Pourquoi dans l’horreur du crime des femmes comme Saltikova égalèrent des meurtriers comme Gilles de Ray ? Voilà longtemps que dans le meilleur et la compassion, la femme est l’égale de l’homme comme dans le crime. Peut-être alors, lorsqu’il sera de nouveau question de ce qui est le creuset de l’humain, l’amour fondateur et reproducteur, l’alliance belle et si fantastique d’un homme d’une femme donnant la vie, feront que ces femmes russes seront enfin regardées pour ce qu’elles sont. S’il y a tellement d’hommes qui rêvent de ces femmes, et qui comme Antoine Monnier ou Hervé se sont lancés dans cette quête, pour la réussir, à savoir fonder une famille, épouser une femme authentique, vraie, honnête et aimante, c’est qu’il y a des raisons profondes. Parfois nous nous perdons dans nos pensées, en nous demandant finalement pourquoi nos femmes en occident, pas toutes bien sûr, se sont-elles si nombreuses fourvoyées, perdues, égarées au point de n’être plus que l’égal de l’homme… Est-ce ceci  le progrès ? N’est-ce pas l’amour et le bonheur, construit à deux, puis avec des enfants qui devraient être notre plus grande satisfaction ?

Si vous ne sentez pas la profondeur de cet appel, alors peut-être verrez-vous cela dans les portraits des femmes qui acceptent de se présenter oralement à Antoine. Peut-être c’est justement en voyant Antoine, en l’écoutant, en le découvrant aussi avec Borislava que vous verrez enfin cette lumière. L’on me répondra peut-être d’aller au diable avec ma femme russe… On me souhaitera peut-être même tout le malheur du monde, mais je peux dire que la grande force que j’entrevois à l’Agence matrimoniale CQMI, c’est justement de créer du bonheur, de souhaiter du bonheur, d’organiser du bonheur, de promouvoir du bonheur, de l’amour ! Dans les séries américaines, il y a souvent cette image du dîner aux chandelles, du verre de bon vin, du couple souriant, toujours au milieu d’un confort incroyable, des plus belles voitures, de maisons cossues avec d’immenses piscines. Nous oublions certainement que ces choses matérielles ne comptent pour rien, que le cœur lui compte pour beaucoup, ainsi que l’âme et l’esprit, la générosité et la charité. Cette générosité des femmes russes s’est justement de ne jamais oublier qu’elles sont des femmes, et de nous offrir le spectacle le plus incroyable, la vision la plus enchanteresse, la femme, simplement elle et rien d’autre dans la plus pure simplicité, mais dans la recherche, l’élégance et loin des vulgarités.

Hervé et l’Agence CQMI

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vues 19437 fois Dernière modification le mercredi, 11 août 2021 14:20

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